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Julio Le Parc born 1928

Argentinian artist born in Mendoza in 1928, resident in Paris. Studied at the School of Fine Arts in Buenos Aires; became interested in the group Arte Concreto-Invención and Fontana's Spazialismo movement. Went to Paris with Sobrino in 1958 on a French government scholarship and settled there. In reaction against tachisme, he took as starting-point the work of Vasarely, the writings of Mondrian and the tradition of Constructivism; in 1959 he began to make geometrical abstract paintings based on predetermined systems, first in black and white, then in colour. He co-founded with Morellet, Sobrino, Yvaral and others, the “Groupe de Recherche d'Art Visuel” in 1960. In 1960 he made his first reliefs and his first 'Continual Mobiles', carrying his research into three dimensional works, and introducing movement and light. 

Around 1962 he started incorporating the study of light in his work, he used moving lights, projected or reflected, pulsating lights etc. Then from 1964 his research is more based on distorting mirrors and more specifically the displacement of the spectator. Increasing interest in the active involvement of the spectator by means of labyrinths, play rooms. First one-man exhibition at the Howard Wise Gallery, New York, 1966 and was awarded the Grand Prix at the 1966 Venice Biennale. 

His works have been acquired by many public institutions and museums such as the Museum of Modern Art in New York, the MALBA, Museo de Arte Latinoamericana de Buenos Aires, the Centre Pompidou in Paris, and the Tate Modern, London.

FR

Julio Le Parc, artiste argentin né en 1928 à Mendoza, résidant à Paris. Il a étudié à l'École des Beaux-Arts de Buenos Aires ; s'est intéressé au groupe Arte Concreto-Invención et au mouvement Spazialismo de Fontana. Il est parti à Paris avec Sobrino en 1958 grâce à une bourse du gouvernement français et s'y est installé. En réaction contre le tachisme, il a pris comme point de départ l'œuvre de Vasarely, les écrits de Mondrian et la tradition du Constructivisme ; en 1959, il a commencé à réaliser des peintures abstraites géométriques basées sur des systèmes prédéterminés, d'abord en noir et blanc, puis en couleur. Il a co-fondé avec Morellet, Sobrino, Yvaral et d'autres, le "Groupe de Recherche d'Art Visuel" en 1960. En 1960, il a réalisé ses premiers reliefs et ses premiers "Mobiles Continuels", poursuivant ses recherches dans des œuvres tridimensionnelles et introduisant le mouvement et la lumière.

Vers 1962, il a commencé à incorporer l'étude de la lumière dans son travail, utilisant des lumières en mouvement, projetées ou réfléchies, des lumières pulsantes, etc. Puis à partir de 1964, sa recherche est davantage basée sur les miroirs déformants et plus spécifiquement sur le déplacement du spectateur. Un intérêt croissant pour l'implication active du spectateur au moyen de labyrinthes, de salles de jeu. Sa première exposition personnelle à la galerie Howard Wise, New York, en 1966, lui a valu le Grand Prix à la Biennale de Venise de 1966.

Ses œuvres ont été acquises par de nombreuses institutions publiques et musées tels que le Museum of Modern Art de New York, le MALBA, Museo de Arte Latinoamericana de Buenos Aires, le Centre Pompidou à Paris et la Tate Modern à Londres.